Pour notre prochaine infolettre, qui paraîtra en janvier 2024 et qui abordera le thème “comment les CCF prennent soin d’eux pour mieux prendre soin des autres”, chers adhérents, chers CCF, nous avons besoin de vous.
Nous recueillerons vos témoignages, vos publications, des évènements qui sont proposés pour les CCF en ce sens, et tout ce que vous jugerez utile pour étoffer notre infolettre, votre infolettre, de vos riches expériences.
Qu’il s’agisse des moments formels de votre pratique comme ceux des entretiens, de la supervision et des autres échanges professionnels ou qu’il s’agisse des moments plus informels où vous devez trouver votre équilibre vie personnelle/ vie professionnelle (charge mentale, formations complémentaires, cumul des activités, forme physique…..).
Les documents sont à envoyer directement à Sylvie à l’adresse contact@pleine-coexistence.com jusqu’au 15 décembre. Avec tous nos remerciements.
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L'ANCCEF au quotidien
La notion de consentement peut être définie comme un " acte par lequel quelqu'un donne à une décision, dont un autre a eu l'initiative, l'adhésion personnelle nécessaire pour passer à l'exécution ". A tout moment de sa vie l'individu est amené à donner son consentement, et ainsi de décider de ce qu'il souhaite. Ceci vaut bien entendu pour la vie affective et sexuelle pour laquelle la notion de consentement est incontournable. Mais aussi pour la contraception, l'interruption volontaire de grossesse, les consultations médicales, les actes médicaux, l'ensemble des soins, la fin de vie, etc. Ce dossier analyse les conditions que les professionnels de tous champs – santé mais aussi éducation social – doivent réunir, toutes les questions qu'ils doivent se poser pour recueillir le consentement des personnes avant tout geste et tout acte. Cliquez sur le titre pour accéder au lien pour télécharger le dossier
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Les livres de Marie de Hennezel explorent finement cette question de la fin de vie.
« Comment mourir ?
Nous vivons dans un monde que la question effraie et qui s'en détourne. Des civilisations, avant nous, regardaient la mort en face. Elles dessinaient pour la communauté et pour chacun le chemin du passage. Elles donnaient à l'achèvement de la destinée sa richesse et son sens. Jamais peut-être le rapport à la mort n'a été si pauvre qu'en ces temps de sécheresse spirituelle où les hommes, pressés d'exister, paraissent éluder le mystère (...).
Ce livre est une leçon de vie. La lumière qu'il dispense est plus intense que bien des traités de sagesse. »
François Mitterrand
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